Tempo è représentation 2015 : le roman des romans


"Tempo è galant'uomo"

Une odyssée romanesque inter-nautique polyphonique 
sous la forme d'une constellation à 5 branches :

http://tempoereconnaissance2015.blogspot.com : le roman hors cadre scolaire 
http://tempoesempervive2015.blogspot.com : le making of du/des roman(s)

 
O







Raphaël Enthoven, une "belle personne" : une des personnalités que je choisis pour représenter les valeurs que le héros du roman polyphonique inter-nautique multi-générationnel à la recherche d'une esthétique contemporaine défendra dans "le roman du roman" sur http://tempoerepresentation2015.blogspot.com

Quelles sont les vôtres ?
  


O



 Pas de deux avec le romancier en devenir : 

Si vous souhaitez apporter des modifications à ces chapitres ou tout simplement poursuivre l'écriture du roman, n'hésitez pas à envoyer vos propositions à cette adresse en précisant bien le titre du roman à modifier ou à poursuivre :  

 tempoe@hotmail.fr
 
Les réunions des Comités éditoriaux de lecture 2015 seront consacrées à la composition d'ensemble du roman à partir des projets d'écriture des romanciers internautes lycéens en lien avec les autres branches de cette constellation romanesque en étoile.

 
O



"Autrefois tu me disais tout" . . 

 "Tempo è galant'uomo"
Le Mariage de Figaro, III, 5

 Et demain je m'envole . .
Pour quelle destination ?
Rome, Venise, Florence, Athènes, Barcelone, New-York, Montréal . . ?


Et demain, devinez qui vient chez moi ?
Olivier Py, Joël Pommerat, Raphaël Enthoven, Frédéric Beigbeder, Eric Ruf, Loïc Corbery, Isabelle Huppert, Philippe Sollers, Julia Kristeva, Boris Cyrulnik, Isabelle Nanty, Fabrice Roger-Lacan, Jean-François Sivadier, Garance Rivoal, Clément Hervieu-Léger, Luc Bondy, Micha Lescot,  Suliane ou Giorgia, Maryse Wolinski  ...  ?

Qu'importe !

"la vraie vie . . . c'est la littérature", Marcel Proust dans Le Temps retrouvé



"La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache", André Malraux

J'aime vos fautes, vos hésitations, vos doutes, vos maladresses, la confiance que vous m'accordez en m'envoyant vos textes, en acceptant les modifications que je vous propose dans un premier temps, un grand merci à tous ceux qui nous confient ces textes qui nous font grandir en nous engageant avec eux
dans l'aventure d'écriture de la recherche d'une esthétique et d'une éthique multi-générationnelle : "Ensemble, c'est tout" !

Je souhaite pour 2015 à tous les romanciers en devenir inter-nautes "l'étincelle motrice et joyeuse" qui a animé l'auteur du Temps retrouvé, notre cher Marcel.

A suivre . .

Tempo è représentation : le making of

Tempo è galant'uomo

Entreprendre pour apprendre "En lisant, en écrivant" : de la lecture à l'écriture..

Une installation romanesque à 5 branches
à la recherche d'une esthétique contemporaine :

Le Moving Art ou la rencontre entre art et surprise
pour des "Théâtres en présence(s)" romanesques en "cercles/fictions" . .

Aki Kuroda, Installation

Le théâtre, un art total
en perspective croisée avec les arts plastiques, la musique et la danse, le cinéma..



 http://tempoecoincidences2014.blogspot.com 




 Pourquoi écrire ?

"J'ai écrit pour pouvoir penser."
Joël Pommerat, Théâtres en présence

"ce monde de communication a développé ce processus de brouillage par le représentation", ibid.

. . Pourquoi le roman ? 

"Je ne voulais qu'essayer de vivre ce qui voulait spontanément surgir de moi.
 Pourquoi était-ce si difficile ?
Emile Sinclair dans Demian de Hermann Hesse

"Que sais-je ?", Montaigne
 

"Tempo è galant'uomo" , Figaro dans Le Mariage de Figaro (III, 5)

. . Pourquoi le passage obligé par "les anneaux nécessaires d'un beau style" ?

"Le style, c'est l'homme même", Buffon


"Tout est dans la forme", Balzac

. . Pourquoi choisir une image, un lieu ?

"On ne pense que par images, si tu veux être philosophe écris des romans", Albert Camus

. . Pourquoi commencer par le "roman familial" ? Pourquoi partir de soi ?

 "une bande passante de sensibilité", Marcel Proust


— Alors, tu vas vraiment faire ça ? « Évoquer tes souvenirs d’enfance »… Comme ces mots te gênent, tu ne les aimes pas. Mais reconnais que ce sont les seuls mots qui conviennent. Tu veux « évoquer tes souvenirs »… il n’y a pas à tortiller, c’est bien ça.
Enfance, Nathalie Sarraute (1983) 

"Connais-toi toi même" 
(inscription sur le fronton du temple d'Apollon à Delphes)


"Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous", Victor Hugo

Parce qu'il est très difficile d'inventer des personnages..

  . . Pourquoi ne pas en rester là ?


"Si les portes de la perception étaient ouvertes, tout apparaîtrait à l'homme -- tel quel --."
Bill Viola 

"La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache ?" André Malraux

  . . ce qu'il se cache ?  


"Je est un autre", Arthur Rimbaud


"La vraie vie est absente", ibid


"L'art ne reproduit pas le visible, il rend visible"

Paul Klee

. . Comment ne pas en rester là ?



 "Parce que c'était lui,  parce que c'était moi", Montaigne

"Je lutte contre une sensation permanente d'éclatement ... Or je suis convaincu que ces plusieurs pourraient avoir, chacun, une oeuvre à développer, un point de vue particulier à déployer."
Joël Pommerat, Troubles

Viktor Vanetsov : "le chevalier à la croisée des chemins" (1882)


. . Comment et pourquoi dépasser les représentations de soi ?

"C'est la contradiction qui donne la vie en littérature", Balzac  

"Je ne peins pas l'homme, je peins le passage", Montaigne

"Deviens ce que tu es", Nietzsche

"les départs qui déchirent le coeur", Rimbaud 

. . Pourquoi un roman "collectif"

"Amant alterna Camenae", Virgile
(Les Muses aiment les chants alternés)

"C'est la contradiction qui donne la vie en littérature", Balzac  

"Ensemble c'est tout", Anna Gavalda

"C'est l'époque qui lit à travers moi", Roger Plachon (metteur en scène)

. . Pourquoi  devenir metteur en scène de sa propre vie par la création romanesque, démiurge ?




 "Devenez poètes de votre propre vie", Goethe 

Pourquoi créer "de l'inconnu" ?

Victor Mikhailovich Vasnetsov (1848-1926), Paysage

"Father and son", Cat Stevens dans Cendrillon de Joël Pommerat


Une relation vivante avec le théâtre contemporain permet-elle de mieux lire son époque ?

Parole symbolique : "le vrai sang"  d'une parole signifiante, au présent coïncidence/Alma Mater

(épanadiplose/palimseste)

à suivre .. 


"Samuel Beckett est peut-être l'écrivain le plus riche et le plus personnel de notre époque. Les pièces de Beckett sont des symboles au sens exact du mot", Peter Brook, L'Espace en présence (p.82)

"Es ventre de la femme le verbe s'est fait chair", Dedalus, Joyce

"Tout est signe et tout signe est message", Proust, Le Temps retrouvé

Le "théâtre d'action" : temps d'une parole inscrite dans le temps, une parole en acte, une "sempervive"

"une parole plus profonde que la tolérance", Hannah Arendt

Joël Pommerat, Théâtres en présence (p. 28-29)

Quand je travaille je cherche à replacer le spectateur dans un temps précis, concret.
Un temps qui puisse rassembler spectateurs et acteurs dans un lieu donné.
Un temps capable de relier fortement des êtres les uns aux autres*, par exemple : comme un groupe de personnes face à un danger commun.
* symbole (étymologie du mot re-ligion : "ligare")
Et c'est cela que j'appelle "le rapport au réel" dans mon travail : la recherche d'un rapport au temps réel, au temps présent, à l'instant. D'où découle un rapport à l'espace réel qui est l'espace commun de l'acteur et du spectateur. commun.
Je cherche à rendre l'intensité du temps qui passe, seconde après seconde, comme aux moments de notre vie les plus essentiels, pendant une expérience qui nous confronte à nous-mêmes, au plus profond.
"Nous pouvons passer beaucoup de temps en répétition avec les comédiens à rechercher le poids d'un gestes, le juste poids d'une parole prononcée.
Ce que j'appelle le poids des choses, c'est la recherche du rapport le plus direct possible (intime peut-être) entre l'acteur et les mots du texte, les silences du texte, les mouvements et les gestes.
Je demande aux acteurs d'être concrets, ce qui ne veut pas dire être explicatifs ou logiques, mais de créer un rapport avec les mots qu'ils prononcent."
(ibid)


et le "temps retrouvé" de l'innocence : 

"d'une parole plus profonde que la tolérance", Hannah Arendt 

"j'aime la vie et c'est pourquoi j'aime tout ce qui a été imprégné par le temps, le temps qui est la forme la plus concrète de notre existence."
Au Monde, Joël Pommerat, La plus jeune (p. 56)

"Tempo è galant'uomo", Figaro (III, 5)



Orphée et Eurydice

http://tempoemythe.blogspot.com

à suivre..


O


Le théâtre, un art total


en perspective croisée avec les arts plastiques, la musique et la danse, le cinéma..

"Tempo è galant'uomo"

Une installation romanesque à la recherche d'une esthétique contemporaine :


1 + 1 = 3 + 2 = 5


 "E = MC2"


"E pur si muove", Galilée



"Il faut aller au-delà de l'image", Yoyo Maeght


"L'art ne reproduit pas le visible, il rend visible"

Paul Klee


et des mots . .


La Fée dans Cendrillon de Joël Pommerat

"Les mots faisaient primitivement partie de la magie, et de nos jours encore le mot garde beaucoup de sa puissance de jadis. Avec des mots un homme peut rendre son semblable heureux ou le pousser au désespoir, et c'est à l'aide de mots que le maître transmet son savoir à ses élèves, qu'un orateur entraîne ses auditeurs et détermine leurs jugements et décisions. Les mots provoquent des émotions et constituent pour l'homme le moyen général de s'influencer réciproquement"
Freud, Introduction à la psychanalyse
 
. . des maux ?

Bonjour Tristesse  . .



"Fuis du plus loin la Pointe assassine,
L'Esprit cruel et le Rire impur,
Qui font pleurer les yeux de l'Azur"

Paul Verlaine, "Art poétique"


"Puisque entre humains, ainsi, vous vivez en vrais loups,
Traîtres, vous ne m'aurez de ma vie, avec vous."

Alceste dans Le Misanthrope de Molière




La Narratrice dans Cendrillon de Joël Pommerat

"Dans l'histoire que je vais raconter, les mots ont failli avoir des conséquences catastrophiques sur la vie d'une très jeune fille. Les mots sont très utiles, mais ils peuvent être aussi très dangereux. Surtout si on les comprend de travers. Certains mots ont plusieurs sens. D'autres mots se ressemblent tellement qu'on peut les confondre.
C'est pas si simple de parler et pas si simple d'écouter."

. . au-delà des images, des mots et des maux, de nos modes de représentation habituels ?

"Une manière d'ange était assis sur le bord d'une fontaine.
Il s'y mirait, et se voyait Homme, et en  larmes, et il s'étonnait à l'extrême de s'apparaître dans l'onde nue cette proie d'une tristesse infinie."

" -- "O mon Mal, disait-il, que m'êtes-vous ?"

"Et pendant une éternité, il ne cessa de connaître et de ne pas comprendre."

Paul Valéry, L'Ange (Mai 1945)



O O

Avis de recherche d'une "belle personne"  .


Le Moving Art ou la rencontre entre art et surprise
pour des "Théâtres en présence(s)" romanesques en "cercles/fictions"



Aki Kuroda, Installation




Une belle rencontre, vendredi 11 juillet 2014


le lendemain de la soirée de signature par Yoyo Maeght de sa Saga Maeght
à "L'Arbre à Lettres", rue Boulard (Paris, 14ème)


Yoyo Maeght et le peintre Thierry Bisch

De belles rencontres, des rencontres inattendues parfois .
 Mick Jagger, Catherine Deneuve et Andy Warhol
(Photo offerte par Yoyo Maeght sur facebook)


Portrait de Yoyo Maeght, histoire d'une saga familiale . .


à suivre..



O O


"Quand on n'espère pas, on ne rencontre jamais l'inespéré 
qui est inconnaissable et naccessible"
 
Héraclite


The Veiling, Bill Viola

 "une bande passante de sensibilité", Marcel Proust




The Encounter (la rencontre), Bill Viola (2012)
 
"Si les portes de la perception étaient ouvertes, tout apparaîtrait à l'homme -- tel quel --."


Les belles rencontres . .

"Là,  tout n'est qu'ordre et beauté, 
Luxe calme et volupté"
 
"L'Invitation au voyage", Baudelaire 

 


Maestro de Léa Frazer
 

"Je ne peins pas l'homme, je peins le passage", Montaigne
 

 et les autres . .

"et il s'étonnait à l'extrême de s'apparaître dans l'onde nue cette proie d'une tristesse infinie"

" -- "O mon Mal, disait-il, que m'êtes-vous ?""

Paul Valéry, L'Ange (Mai 1945)

 

Bonjour Tristesse  . .

"On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiment", André Gide
"Inquiéter, tel est mon rôle. Le public préfère toujours qu'on le rassure. Il en est dont c'est le métier. Il n'en est que trop." ibid.


"L'homme n'est pas bon", Valère Novarina, L'Opérette imaginaire


 
 "C'est la contradiction qui donne la vie en littérature", Balzac 


1 + 1 = 3 + 2 = 5


 "E = MC2"


"E pur si muove", Galilée



A suivre.. 


O O


"Je ne cherche pas je trouve", Picasso



Il Trovatore, création à Rome en 1853, opéra romantique, entre héroïsme et bel canto : direction de Daniele Gatti au Festival de Salzbourg 2014, mise en scène d'Alvis Hermanis dans un Musée..

 "Le Joueur de luth", Giovanni Busi


" De la musique avant toute chose "


O O



Sur les pas de La jeune fille errante . .

de La Petite Catherine de Heilbronn de Kleist aux Pas perdus de Denise Bonal

"-- Oui, cette vallée de larmes, moi je vous le dis, il ne faut plus en entendre parler ! Que ceux qui ont inventé ce paysage le boivent jusqu'à la dernière goutte ! Non, non, on n'est pas sur la terre pour pleurer, que ce soit dans un mouchoir, un lit, une forêt, un escalier ou un train. Non, les larmes c'est fait pour le jour où l'homme qu'on aime vous dit enfin qu'il vous aime – ou quand le prisonnier se retrouve à l'air libre. Je dirai même qu'on n'est pas sur la terre pour mourir! Ah ! Non ! On serait arrivés ici, juste pour mourir ! On nous aurait jetés comme une poignée de sel dans la soupe rien que pour nous voir fondre entre les yeux du bouillon. Non ! On est ici pour vivre ! Oui, pour vivre avec du ciel partout, du ciel sous les bras et dans les draps, du ciel en pagaie, du ciel qu'on pourrait presque toucher, et qu'on verrait palpiter sur les trottoirs et même dans le métro, et même dans son bol de café, et même dans l'eau où on lave le bol de café. Parce que vivre c'est pas une habitude, c'est une expédition au long cours et bien plus intéressante que de sauter sur la lune où il n'y a que des crevasses et des cailloux blancs ".

Les Pas perdus
, Denise Bonal ("la jeune fille errante")



"Tempo è galant'uomo"


Comment éviter les dérives autobiographiques ?


— Alors, tu vas vraiment faire ça ? « Évoquer tes souvenirs d’enfance »… Comme ces mots te gênent, tu ne les aimes pas. Mais reconnais que ce sont les seuls mots qui conviennent. Tu veux « évoquer tes souvenirs »… il n’y a pas à tortiller, c’est bien ça.

Enfance, Nathalie Sarraute (1983)  


 


"Tempo è galant'uomo", Figaro dans Le Mariage de Figaro (III,3)








"Je vois une petite fille ensevelie au miroir des années", Gérard Lenorman





"Qu'est-ce que tu racontes toi ? Je suis pas du tout gentille ! 
Si les gens voyaient comment je suis vraiment en vrai, i' diraient pas que je suis gentille !"

La très jeune fille dans Cendrillon de Joël Pommerat




O

Et si nous commencions par la description d'un lieu, réel ou imaginaire ? 



Lorsqu'il lui avait fait visiter la maison, il avait installé un canapé en cuir blanc dans la salle de séjour rustique aux murs de pierres apparentes avec poutres en traverses de chemin de fer au plafond, carreaux provençaux au sol, escalier en bois menant à l'étage et table en chêne d'un seul tenant entourée de bancs en pierres apparentes. C'était, avec le bar sous l'escalier conduisant à l'étage, le seul mobilier. Une porte en bois de la même couleur que les volets donnait sur la cave, au fond, à côté de l'immense cheminée dans l'angle de la pièce. Une autre porte, au fond, sur le côté, ouvrait sur le garage. Deux fenêtres et une porte-fenêtre perçaient la muraille donnant sur la galerie et une porte ajourée annonçait la cuisine.

"C'est dans cette maison, derrière ces volets marron, que j'ai mes p'tits souv'nirs"
Chanson de Henri Dès, "Petits souvenirs"


A vous de jouer !


 Avant la traversée de l'ombre..

 


Et la rencontre..


Astrée et Céladon dans Maestro de Léa Frazer

 . . les rencontres  . .





 . . les belles rencontres . .



 La Fée dans Cendrillon de Joël Pommerat





. . et les autres . .


La méchanceté, François Flahault


Bonjour Tristesse  . .


"Fuis du plus loin la Pointe assassine,
L'Esprit cruel et le Rire impur,
Qui font pleurer les yeux de l'Azur"

Paul Verlaine, "Art poétique"


"Puisque entre humains, ainsi, vous vivez en vrais loups,
Traîtres, vous ne m'aurez de ma vie, avec vous."

Alceste dans Le Misanthrope de Molière




" -- "O mon Mal, disait-il, que m'êtes-vous ?"


Paul Valéry, L'Ange (Mai 1945)



"La grande question dans la vie, c'est la douleur que l'on cause, et la métaphysique la plus ingénieuse ne justifie pas l'homme qui a déchiré le coeur qui l'aimait."

Benjamin Constant, Adolphe


Bonjour Tristesse . .


"souriant comme sourirait un enfant malade"

Arthur Rimbaud, Le Dormeur du val






Quelqu'un comme vous, Fabrice Roger-Lacan


"Evite à tout homme la honte", Nietesche


"N'humilions pas l'homme qui nous sert bien", Figaro (III,5)



"L'homme n'est pas bon", Valère Novarina dans L'Opérette imaginaire

 
 . avec l' autre, en soi  . .


"Une manière d'ange était assis sur le bord d'une fontaine.
Il s'y mirait, et se voyait Homme, et en  larmes, et il s'étonnait à l'extrême de s'apparaître dans l'onde nue cette proie d'une tristesse infinie."

" -- "O mon Mal, disait-il, que m'êtes-vous ?"

"Et pendant une éternité, il ne cessa de connaître et de ne pas comprendre."

Paul Valéry, L'Ange (Mai 1945)




. . et hors de soi . .


Mentor jette Télémaque à l'eau pour le sauver des tentations de l'île de Calypso
dans Les Aventures de Télémaque de Fénelon




 





http://tempoeclipse.blogspot.com 


Orphée et Eurydice

à suivre..


"une bande passante de sensibilité", Marcel Proust




The Encounter (la rencontre), Bill Viola (2012)
 
"Si les portes de la perception étaient ouvertes, tout apparaîtrait à l'homme -- tel quel --."




"un signal à travers les flammes"

Antonin Artaud cité par Peter Brook dans L'Espace vide (p.74)


 
"au coeur des flammes", ibid (p.72)

parce que "la poésie nous a désertés", Peter Brook, ibid (p.70)

"Comprendre, comprendre la visibilité de l'invisible est l'oeuvre d'une vie." ibid (p.80)


"L'art ne reproduit pas le visible, il rend visible"

Paul Klee