Que sont nos chevaliers devenus ?

"au coeur des flammes"

Peter Brook, L'Espace vide (p.72)

"Tempo è galant'uomo",

dit l'Italien;
il dit toujours la vérité : c'est lui qui m'apprendra qui me veut du mal, ou du bien."
Figaro
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (III, 5)



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"Hygiène de l'assassin", ou comment on tue les femmes : 
Que sont nos chevaliers devenus ?

"Pas son genre" 
  Un Amour de Swann, Marcel Proust
Pas son genre, Philippe Vilain (2011)


Affiche du film de Lucas Belveaux (2014)
 

Trop facile ?

 L'amour dure trois ans, Frédéric Beigbeder

"Unique objet tu ne fus pas toujours le même" 
Paul Valéry 
 

La Dentellière, Pascal Lainé (1974)


L'Ennui, Alberto Moravia (1960)

A l'Ombre des jeunes filles en fleurs
Marcel Proust 

"De loin, belles et mystérieuses"

Grâce à mes yeux, Joël Pommerat


"Il n'est de séduction que du secret"
Alain Baudrillard 

"Chaque fois.. je suis sincère"
Sacha Guitry 


à suivre.. 


"Heureux avec ma femme au fin fond de l'Andalousie"  
Figaro
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (III, 5)

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"Ici, lorsque quelqu'un disparaît, on dit simplement qu'il s'est évaporé."

Les évaporés, Thomas B. Reverdy

Rubrique : Les chapitres

cf. tempoeclipse

http://tempoeclipse.blogspot.com


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 "Remember"
Stefan Zweig, Le Joueur d'échecs

Réduire les facteurs mémorisables et multiplier les combinatoires :
de "Chant des signes" en "cercles/fictions"
pour "une échologie du temps perdu retrouvé"



Réminiscence
Immanence
Coïncidence
Correspondances
Reconnaissance
Sempervive
Alma Mater
 
heuristique- herméneutique - épistémologique


 "Ni rire ni pleurer, mais comprendre", Spinoza


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"Un signal à travers les flammes"
 Antonin Artaud

cité par L'Espace vide de Peter Brook (p.74)

 



"Le théâtre immédiat", L'Espace vide de Peter Brook (p. 131)


"Intelligenti pauca"


 
Théâtres en présence, Joël Pommerat (pp.12-13)

Cette métaphore qu'on emploie souvent pour dire que la vie est un théâtre n'est pas si fausse et ce monde d'aujourd'hui, ce monde de communication a développé ce processus de brouillage par la représentation. On ne cesse pas de se mettre en scène, de mettre en scène sa parole, son rapport aux autres. L'inverse d'une spontanéité.
Et au théâtre on vient pour autre chose.

Il y a un processus historique dans cette démarche. Je fais le théâtre que j'aimerais voir dans ce monde-là dans lequel je vis. J'ai envie d'aller au théâtre pour voir un instant où ça cesse, où ça cesse enfin de jouer, de composer. Cette utopie n'a rien à voir avec une recherche de pureté. C'est simplement une expérience, une tentative artistique et humaine à la fois : aller vers plus d'abandon et moins de contrôle, aller vers un laisser-être. Non pas dissimuler, non pas composer mais plutôt montrer.

En disant cela, je ne suis pas en train de faire une critique de la société, car moi aussi je suis en représentation permanente, je suis dans des stratégies, je n'échappe à rien de tout ce dont je parle mais c'est fatigant, et ça crée le besoin d'autre chose, ça crée le besoin d'être simplement .

"Hic et nunc"


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